Ce court-métrage exprime une partie de mes réflexions de ces dernières années, de ce que j’ai vécu et ressentis lors de ma découverte du cinéma animalier.
Je me suis souvent sentie en décalage avec la plupart des personnes que j’ai côtoyé jusqu’à maintenant. Toujours dans la lune, à me remettre en question, rêvant de grands espaces, et me sentant beaucoup plus empathique envers les animaux qu’envers les êtres humains.
Lorsque j’ai découvert la possibilité de faire de la photographie et de la vidéo d’animaux sauvages un véritable métier, notamment grâce à l’IFFCAM (Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier), j’ai pu réaliser un rêve. Rencontrer les êtres de la nature, les observer, entrer dans leur monde, et laisser la place à mes sensations et à ma sensibilité.