IL ETAIT UNE FOIS DANS L’WEB

Stéphane, YouTubeur en manque de notoriété, cherche à vivre de ses vidéos.

Réalisateur/Scénariste : Lounis AISSAOUI
Producteur : Rudy KEIL
1er assistant réalisateur : Estelle LEBIGRE
Scripte : Geneviève PETIT
Chef opérateur : Mabner TOUSSAINT
1ère assistante opérateur : Malorie GALLARD
2e assistant opérateur : Paul Adrien DEBIZET
Chef opératrice son : Nicolas JEAN
Machino : Charles-Emmanuel SERY
Chef maquilleuse/VFX : Morgane LEGRE

Casting :
Stéphane : Michael Putters
Gabi : Sacha Ouensou
Emilie : Elisa Duc
Lascar 1 : Julien Las
Lascar 2 : Mous Benamer
Homme de main : David SARFATI
Figurant 1 Soirée : Jean Alloin
Figurant 2 Soirée : Julien Las
Figurant 3 Soirée : Said Anayoub
Figurant 4 Soirée : Camille Richie
Figurant 5 Soirée : Suppi Tolu
Figurant 6 Soirée : Violette thouzeau
Figurant 7 Soirée : Fabien Espeche
Figurant 8 Soirée : Edwige Espeche
Figurant 9 Soirée : Sarah Burlot
Figurant 10 Soirée : Jessica Benichou
Figurant 1 Vidéo : Rudy KEIL
Figurant 2 Vidéo : Morgane Legré
Figurant 3 Vidéo : Azdean rachidi
Figurant 1Parking : Quentin Santarelli
Figurant 2 Parking : Lounis AISSAOUI
Figurant 3 Parking : Slim
Figurant 4 Parking : Rudy KEIL

Qu’est-ce qui différencie l’Homme de l’animal ? Une question que certains diront simple. C’est notre capacité intellectuelle ! Pour ma part, je ne limiterai pas cette différence, à ce seul aspect physique que sont notre cerveau et ses connexions neuronales, mais plutôt à la recherche du développement personnel qui induit cette capacité. Car réellement, l’espèce humaine dans sa globalité, est à la fois disparate mais homogène dans cette quête personnelle, très bien expliqué par Maslow et sa pyramide, avec à son sommet, l’accomplissement de soi. Certains diront que ce n’est pas l’accomplissement de soi qui les motive dans la vie, parce que cette notion est abstraite et peut être vu comme cupide. Je pense qu’il est plus juste de dire que le DESIR, et plus précisément que le DESIR DE L’ACCOMPLISSEMENT DE SOI est la vérité universelle à notre espèce. Qu’il soit financier, spirituel ou encore familial, ce désir ne découle pas d’un besoin physiologique mais uniquement d’une recherche et d’une construction intérieure. En effet, lorsque le lion a faim (besoin physiologique) il désire manger, point. Pour notre espèce, c’est un petit peu plus compliqué, et c’est bien cet aspect de notre espèce qui me fascine. Dans ce premier court métrage, j’ai essayé de cerner ce désir d’accomplissement de soi, au travers du genre dramatique. Au centre de l’intrigue, un jeune, qui souhaite réussir sur ces nouvelles plateformes sociales. Mais là où est toute la complexité de l’être humain, c’est qu’il ne désire pas s’accomplir dans ce pour quoi il est le meilleur, mais dans ce pour quoi il en tire le plus de gloire. De plus, ce sujet touche un domaine plus large. En effet, les réseaux sociaux donnent l’illusion d’une célébrité à portée de clique, et ce succès, peut être à la fois une opportunité mais aussi un fardeau pour les nouvelles générations, qui y baignent. Après, qui n’a jamais voulu être connu, et reconnu pour son travail ? Dans ce court métrage, je veux aussi aborder le prix de cette nouvelle célébrité. Car dans le monde des réseaux sociaux, ce qui compte, ce n’est pas le talent intrinsèque d’une personne, mais bien sa capacité à faire des vues et à être suivi. J’aimerais que ce film puisse servir de support, pour des enseignants ou des campagnes de prévention. Mon personnage principal, Stéphane, est un gentil garçon, en quête de succès, sans réel talent. Il réalise des vidéos sur Youtube. Si on le place dans le Pyramide de Maslow, il est au niveau de l’estime de soi et l’accomplissement. J’ai construit un noeud dramatique atour de ses proches. Sa petite copine, Emilie, est la voix de la raison. Elle travaille, elle est indépendante et l’aide financièrement, elle permet à Stephane de se concentrer sur sa passion, elle représente la base de la pyramide. Sa pote, Gabi, lesbienne assumée, est plutôt la voix du mal, elle l’entraine à aller toujours plus loin, et ne pas avoir peur de choquer. Par contre, Gabi s’assume, et elle a le même rêve, réussir avec Youtube. Dans ce noeud, Stéphane est tiraillé entre une vie « normale » et une vie d’artiste. Mais jusqu’à quel point ? Au niveau de l’aspect technique, je souhaite une image très cinématographique au format 2:39. Mais dans cette qualité d’image, je veux mixer avec des images « amateurs » lors des actions filmés à l’extérieur entre Stéphane et Gabi. De plus, comme la très bien illustré Gaspar NOE dans « Enter The Void », je souhaite mettre à plusieurs instants, une vue subjective de Stéphane, pour que le spectateur se sente au coeur de l’action. Le tout, avec une musique envoutante et triste, pour accentuer le genre, qui doit être composer à l’image. Je vais finir cette note d’intention avec une brève présentation. Je m’appelle Lounis AISSAOUI, né à Bains Romains en Algérie de père Algérien et de mère Ukrainienne. Je suis arrivé à l’âge d’un an, avec mon frère et mes parents. Malgré un début de parcours scolaire tumultueux, je me suis vite rendu compte, grâce à mon père, de l’importance d’une éducation solide. A partir de là, j’ai complément changé de comportement, et jusqu’à la fin de ma scolarité (BAC+5 en management de la qualité) j’ai toujours été dans le TOP 2 de la classe. Après mes études j’ai tenté l’expérience de l’entreprenariat, qui a abouti à une faillite après cinq ans d’activité. De là, une remise en question s’est opérée, et j’ai compris que ce qui me motive dans la vie, ce n’est pas l’argent (même s’il en faut) mais construire. Virage à 180 degrés, je me retrouve à travailler sur des tournages, des événements d’entreprises et autres. Et j’ai renoué avec ma passion de toujours, le cinéma. Durant 2 années, je me suis rendu compte, que ce rêve était à porté de main, et depuis cette date je mets tout en oeuvre pour arriver à mon but suprême : réaliser mes propres fiction. J’ai pour ambition, avec ce court métrage, de présenter mon oeuvre au festival de Cannes, dans la catégorie « Drame ». Le festival offre l’opportunité aux jeunes réalisateurs de projeter et de concourir au travers du « SHORT FILM CORNER », et ainsi, se permettre d’avoir une exposition mondiale, en cas de sélection. Le dépôt des candidatures, se fait au mois de Mars 2020. Ainsi, le tournage est prévu, en Janvier 2020, pour une durée de 5 jours, et la post-production, en Février 2020, pour 3 jours. Mon projet passe par une association de cinéma, CINE RAGE, qui m’aidera à apporter le statut juridique auprès des institutions, publics ou privées. C’est uniquement par cette association, que passera toute forme de dons.

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